Partie 1 : Le Plaisir – « Ah, ça, c’est du bon ! »
Ahhh, Diablo II Resurrected… Rien que d’en parler, j’ai des frissons. Imagine : on lance une partie, la musique gothique résonne, et bim, on est replongé direct en 2000, époque bénie où les loot brillants et les builds foireux faisaient battre notre petit cœur de gamer. Tout est là, mais en plus beau : les sorts claquent, les monstres explosent en un festival de pixels et de runes, et l’adrénaline monte quand on descend en Enfer. Et puis ce petit frisson quand on voit un objet unique tomber… Serait-ce LA rune qui manque pour enfin craft Enigma ? Ah, cette sensation, c’est de l’or en barre.
Partie 2 : Le Déplaisir – « Mais pourquoi je fais ça, sérieux ? »
Et pourtant… Pourtant, y’a ces moments où on se demande pourquoi on inflige ça à notre pauvre âme. Parce que, soyons honnêtes, Diablo II, c’est aussi le royaume du farming à l’infini. Mephisto couru 50 fois et toujours rien ? Baal qui droppe une dague pourrie alors qu’on rêve d’une Shako ? Ce jeu aime tester notre patience. Et on ne parle même pas de ces soirées où on décide de reroll un perso et qu’on réalise qu’il faut tout recommencer. Ah, et le multijoueur ? Un vrai défilé de bots et de mecs qui ont déjà tout en perfect stats pendant que toi, t’es encore là avec ton bâton cassé.
Mais bon… une fois qu’on a ragequit, on fait quoi ? Bah, on relance une partie. Parce que Diablo II, c’est ça : un enfer dont on ne veut jamais sortir.
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